Mardi 5 mars
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Le Prix Nobel de la Paix, héros de la résistance polonaise dans
les années 70 et 80 contre le régime communiste et ancien président de la République, Lech WALESA, s'est livré à une attaque en règle contre les homosexuels dans un pays
profondément marqué par la religion catholique. L'ancien leader du syndicat Solidarnosc était l'invité de la chaîne de télévision polonaise TVN 24 vendredi dernier. A cette
occasion, il a déclaré qu'on "devrait envoyer les députés homosexuels s'asseoir au dernier rang du Parlement, et même derrière le mur". Selon lui, "c'est la majorité qui a construit
la démocratie, et elle appartient à la majorité. Et tout ce que nous avons, c'est qu'une minorité marche sur la tête de la majorité". Fervent catholique et habitué des prises de position
très conservatrices notamment contre l'avortement, l'ancien président polonais ajoute qu'il "tolère et comprend" cette minorité mais qu'il ne veut pas qu'elle "manifeste dans la rue
et fasse tourner la tête à [ses] enfants et [ses] petits-enfants". Le Parlement polonais ne compte officiellement qu'un seul député ouvertement homosexuel et une députée transexuelle.
Par trois fois, il a rejeté des projets de loi reconnaissant les couples de personnes de même sexe. Certes, dans une démocratie, c'est bien la majorité qui fait la loi ce qui n'empêche pas
(ou ne devrait pas empêcher) les minorités d'avoir des droits...
Sources : 360.ch
Par osagay
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Mercredi 27 février
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La femme de l'ancien Président des Etats-Unis,
Laura BUSH, se retrouve malgré elle dans une pub en faveur de l'ouverture du mariage aux couples homosexuels aux Etats-Unis. Ce spot publicitaire réalisé pour les besoins de la
campagne Respect For Marriage, structure coalisant 80 associations favorables au mariage gay, présente diverses déclarations de responsables républicains qui avaient pris position, à
titre personnel, pour le mariage pour tous. C'est notamment le cas de l'ancienne First Lady qui avait déclaré sur CNN en 2010 : "Quand des couples sont engagés l'un envers l'autre et quand
ils s'aiment, ils devraient avoir le même type de droits que n'importe qui". Une déclaration totalement opposée à la politique de son mari, Georges W. BUSH, qui a
toujours refusé catégoriquement les revendications des homosexuels. Laura BUSH, quant à elle, malgré ses prises de position sur la question, n'a aucune intention de devenir
une égérie de la cause gay ! Elle a ainsi fait savoir qu'elle "ne souhaitait être associée d'aucune manière" à la Respect For Marriage à qui elle a demandé de ne plus utiliser son
image.
Sources : 360.ch
Par osagay
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Dimanche 24 février
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Barack OBAMA est probablement le Président des Etats-Unis le plus gay-friendly
de l'histoire. On se souvient que lors de son discours d'investiture inaugurant son second mandat à la Maison Blanche, il avait réitéré son soutien à la cause de l'égalité des droits en
prononçant cette phrase impensable dans la bouche de ses prédécesseurs : "Notre voyage ne sera pas terminé tant que nos frères et soeurs homosexuels ne seront pas traités comme tout le monde
par la loi". Au-delà des discours, le Président américain vient de franchir une nouvelle étape en demandant à la Cour suprême des Etats-Unis d'abroger la loi de défense du mariage (DOMA)
datant de 1996. Cette loi définit au niveau fédéral le mariage comme étant exclusivement l'union d'un homme et d'une femme. Pour l'administration américaine, DOMA est anticonstitutionnelle dans
la mesure où elle "viole la garantie fondamentale de l'égalité" devant la loi. En effet, l'exécutif américain considère qu'à partir du moment où certains couples homosexuels sont
légalement mariés dans un état américain (à ce jour 9 états sur 50 ont légalisé le mariage gay), la loi DOMA leur interdit de bénéficier des mêmes avantages fédéraux que les couples mariés
hétérosexuels.
La décision des 9 juges composant la Cour Suprême est attendue fin mars.
Sources : e-llico.com
Par osagay
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Samedi 23 février
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00:45
La décision du pape Benoît XVI de renoncer à sa charge a surpris et a donné lieu à de multiples
hypothèses concernant les raisons de cette décision. Si le souverain pontife a simplement évoqué son âge et la fatigue physique dont il souffre pour justifier sa renonciation, les commentateurs
ont souvent cherché "les vraies raisons" de cette décision pour le moins historique. Le quotidien italien La Republica a fait sa une avec une nouvelle piste qui, à n'en pas douter, ravira les
adeptes de la théorie du complot : le pape aurait pris sa décision en décembre après avoir pris connaissance d'un rapport confidentiel rédigé par trois cardinaux faisant notamment état des ébats
homosexuels de certains prélats avec des laïcs au sein même du Vatican. Selon la Republica ces laïcs exerceraient un "chantage" sur leurs partenaires sexuels, membres de la curie romaine. Le
rapport des trois cardinaux évoquerait même l'existence d'un "lobby gay" au sein de l'état pontifical. Si nous voulions ironiser, nous pourrions aisément dénoncer la nullité de ce lobby compte
tenu des positions très rétrogrades de l'Eglise sur la question de l'homosexualité... Toujours est il que Benoît XVI aurait été si choqué par la nouvelle que sa décision de renoncer s'en serait
trouvée renforcée. Manifestement, il n'y a que le pape pour ignorer que la soutane n'empêche pas la sodomie !
L'explication avancée par La Republica semble bien fantaisiste, sauf peut-être pour quelques catholiques intégristes qui verront là une nouvelle occasion de maudire
les gays. Elle a au moins le mérite de souligner l'hypocrisie d'une institution qui dénonce l'homosexualité mais qui ferme les yeux sur ses prélats qui aiment se rendre à Naples sans passer par
les ponts comme l'on disait au XVIIème siècle pour désigner avec poésie les plaisirs entre hommes.
De son côté, le Vatican s'est refusé à tout commentaire.
Sources : têtu.com
Par osagay
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Vendredi 22 février
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00:09
Un homme de 67 ans a été arrêté au volant de sa voiture par la police de Trenton dans le Michigan. Il avait été dénoncé par un automobiliste qui l'avait vu pratiquer une
fellation sur un godemiché tout en conduisant ! Le policier qui a procédé à l'arrestation a pu constater la présence du sextoy sur le siège passager. Circonstance aggravante : le conducteur
n'avait pas bouclé sa ceinture de sécurité. Face à l'agent le conducteur suceur a immédiatement reconnu les faits : "Je suçais un dildo, je suis désolé", et a reconnu avoir un
"problème" avec les sextoys. L'objet du délit a été confisqué et le conducteur inculpé pour conduite dangereuse et atteinte aux bonnes moeurs.
Sources : 360.ch
Par osagay
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