Bobbi est lesbienne et Taylor est gay. Leurs deux familles sont conservatrices et les deux jeunes gens n'osent pas leur dévoiler leur sexualité. Ils prennent donc toutes leurs précautions afin de rester discrets et veillent, en particulier, à rendre privées les informations contenues sur leurs pages Facebook. Toutefois, lorsqu'ils s'inscrivent tous les deux à l'université d'Austin au Texas, ils ont la même idée : celle de s'inscrire à la Queer Chorus, une chorale LGBT. Les choses se compliquent lorsque la chorale en question ajoute Bobbi et Taylor sur sa propre page Facebook qui elle, contrairement à celles des deux étudiants, est publique. Via la page de cette chorale, le monde entier (et en particulier les parents des deux jeunes gens) connaît désormais leur homosexualité. Bobbi est harcelée par son père qui la menace de ne plus subvenir à ses besoins et lui ordonne de déclarer qu'elle est hétérosexuelle au risque de finir en enfer ! Quant à Taylor, son père l'a purement et simplement renié. 

Sources : news.aufeminin.com

Alors que Act Up-Paris a claqué la porte du comité associatif d'IPERGAY (lire ICI), c'est au tour de l'association Aides de prendre position. Le sujet de controverse concerne la mise sur le marché de Truvada, un antirétroviral utilisé notamment aux Etats-Unis comme moyen préventif de la transmission du VIH. Alors qu'Act Up avait jugé cette mise à disposition prématurée, Aides adopte une position radicalement différente. L'association préconise à la fois la poursuite de l'essai IPERGAY qui teste l'efficacité de Truvada par rapport à un placebo et la mise à disposition du médicament en continu. Aides rappelle que l'OMS (Organisation Mondiale de la Santé) se montre favorable à la mise en place "de dispositifs pilote d'accès à la prévention combinée". Il s'agirait ainsi d'associer la prise en continu de Truvada et d'autres mesures de prévention (préservatifs, dépistage, traitement des IST...). Pour Aides, "il est inacceptable de retarder l'accès à un outil de l'arsenal de la prévention dans la dynamique de l'épidémie du VIH/Sida en France". Aides rappelle que "l'efficacité préventive de Truvada est d'environ 90% si le médicament est détectable dans le sang (c'est-à-dire s'il est pris en continu), autour de 75% si le médicament est pris plus de quatre fois sur cinq".

Sources : yagg.com

Le patron d'Abercrombie & Fitch, Michael S. JEFFRIES, âgé de 68 ans, a visiblement quelques manies qui frisent la pathologie. La presse américaine a publié le réglement auquel le boss soumet les membres de l'équipage du jet privé mis à sa disposition par l'entreprise. Michael S. JEFFRIES exige que les stewards, tous recrutés parmi des mannequins ou acteurs au corps musclé, soient intégralement habillés avec des vêtements de la marque Abercrombie & Fitch, y compris les sous-vêtements, et qu'ils ne portent une veste que si la température extérieure passe en dessous de 10°C. La propreté de l'appareil fait également l'objet de caprices extravagants : l'aspirateur doit ainsi être passé dans la cabine d'avant en arrière et former sur la moquette des lignes droites parfaites, toute trace de doigts dans les WC est interdite et le papier toilette ne doit faire aucun pli. De plus, les hommes au service de Michael S. JEFFRIES doivent, durant le vol, présenter à leur patron un large éventail de magazines dans lesquels ils auront au préalable retiré toutes les publicités. La règle veut en outre que les employés ne répondent aux volontés du patron que par "No Problem", toute autre réponse n'est pas tolérée. Ces extravagances que seuls les milliardaires peuvent se permettre, ont des conséquences plus dramatiques. M S. JEFFRIES fait actuellement l'objet d'une plainte déposée contre lui par l'ancien pilote de son avion qui estime avoir été licencié uniquement pour pouvoir être remplacé par un homme plus jeune et "plus à même de représenter la société". Le culte du corps parfait qui sous l'impulsion de JEFFRIES a fait de la marque une véritable icône pour les gays américains semble donc faire des ravages dans l'entourage du patron. Ces révélations tombent assez mal puisque la situation financière d'Abercrombie & Fitch n'est pas au mieux et que les actionnaires commencent à réclamer des exlications sur l'usage que le PDG fait du jet de la société...

Sources : 360.ch