Paris a pour ambition d'acceuillir les Gay Games de 2018. Le dossier de candidature reçoit de nombreux soutiens en provenance de la classe politique, du monde sportif ou associatif. Le dernier en date est celui du Premier ministre, Jean-Marc AYRAULT. Ces soutiens officiels renforcent la crédibilité de la candidature parisienne auprès de la Fédération des Gay Games qui désignera la ville hôte des jeux de 2018. 

Soutiens politiques : 

Jean-Marc AYRAULT, Premier Ministre

Najat VALLAUD-BELKACEM, Ministre des Droits des Femmes, porte-parole du gouvernement

Bertrand DELANOE, Maire de Paris

Anne HIDALGO, 1er Adjoint au Maire de Paris

Jean VUILLERMOZ, Adjoint au Maire de Paris chargé des sports

Bruno JULLIARD, Adjoint au Maire de Paris chargé de la jeunesse

Jean Bernard BROS, Adjoint au Maire de Paris chargé du tourisme

Christophe GIRARD, Maire du IVème arrondissement de Paris

Jacques BRAVO, Maire du IXème arrondissement de Paris

Patrick BLOCHE, Maire du XIème arrondissement de Paris

Michèle BLUMENTHAL, Maire du XIIème arrondissement de Paris

Daniel VAILLANT, Maire du XVIIIème arrondissement de Paris

Groupe EELV à la Mairie de Paris

Chantal JOUANNO, Sénatrice de Paris

Roselyne BACHELOT, Ancienne Ministre de la Santé et des Sports

Rama YADE, Ancienne Secrétaire d'Etat chargé des sports

Philippe AUGIER, Maire de Deauville et responsable Atout France

Jean-Luc ROMERO, Conseiller régional d'Ile-de-France

Soutiens sportifs : 

Laura FLESSEL, Marraine de la candidature de Paris aux Gay Games 2018

Philippe CANDELORO

Luis FERNANDEZ

Le Comité National Olympique Français

La Fédération française de Volley Ball

La Fédération française d'Athlétisme

La Fédération française de Danse

Sources : tetu.com

Des chercheurs britanniques viennent de mettre au point une nouvelle méthode de dépistage du VIH mais également du cancer de la prostate. Les résultats du test sont visibles à l'oeil nu ! Il s'agit de déposer un peu de sang du patient sur une base en plastique contenant d'infimes particules d'or. Dans le cas où le sang est contaminé, les particules d'or réagissent en donnant une couleur bleue à la solution. Si le patient n'est pas contaminé, le test est alors de couleur rougeâtre. Cette technique de dépistage présente plusieurs avantages : elle est plus sensible que les procédés actuels, 10 fois moins coûteuse à mettre en place et ne nécessite aucun équipement sophistiqué puisque les résultats peuvent être lus à l'oeil nu. Les pays en voie de développement dont les moyens consacrés à la lutte contre le SIDA sont largement insuffisants pourraient donc être les destinataires privilégiés de cette méthode de dépistage. En revanche, le test n'est pas assez précis pour permettre de mesurer le stade d'avancement de la maladie. Il ne permet que de distinguer les patients non porteurs des patients contaminés. Impossible, avec cette méthode, de quantifier les marqueurs recherchés dans le sang. Que ceux-ci soient présents à des concentrations très faibles ou, au contraire, très élevées, le test réagit de la même manière.

Sources : e-llico.com