Lundi 3 décembre
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Par osagay
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Publié dans : Beaux mecs
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Dimanche 2 décembre
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En 2009, l'OGC
Nice était le 3ème club de Ligue 1 à signer la Charte contre l'homophobie créée à l'initiative du Paris Foot Gay. Il vient d'en être exclu. L'origine de cette décision remonte au 29 septembre
2012 lors du match Nice-Bastia au cours duquel, selon le Paris Foot Gay, "des observateurs de SOS Racisme et du ministère de l'Intérieur ont constaté des chants homophobes lancés par le
"kapo" chargé de l'animation en tribune sud". Le manque de réponses et de sanctions appropriées de la part du club niçois ont amené le Paris Foot Gay à estimer que le club ne tenait pas les
engagements pris dans la Charte. Le directeur de l'OGC Nice aurait même considéré que l'action du PFG était "contre-productive puisque stigmatisante". Contacté par l'AFP, le club de foot
niçois n'a pas souhaité réagir à la décision du PFG de l'exclure de la liste des clubs signataires de la Charte contre l'homophobie.
Sources : tetu.com
Par osagay
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Publié dans : Sport
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Samedi 1 décembre
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Depuis 25 ans, le 1er décembre est la journée mondiale de lutte contre le SIDA. En trois décennies, la maladie a fait 30 millions de victimes. Même si le combat est loin d'être
gagné, la recherche avance et le nombre de décès liés au VIH a diminué de 5,6 % en 2011. La baisse du prix des traitements antirétroviraux a permis à un nombre de plus en plus important de
personnes d'avoir accès à ces thérapies. Aujourd'hui, ce sont 8 millions de personnes qui bénéficient de ces antirétroviraux. Ce chiffre est en augmentation de 63 % depuis 2009. Néanmoins, 7
millions d'hommes et de femmes, principalement dans les pays en voie de développement, sont toujours privés de ces médicaments. La mobilisation ne doit pas faiblir. Elle nécessite des moyens
financiers et humains mais elle exige aussi que chacun adapte ses comportements sexuels à cette réalité : le SIDA ne se soigne toujours pas ! Les moyens de prévention au premier rang desquels
figure le préservatif restent encore nos meilleurs alliés dans la lutte contre la propagation de la maladie. Restons vigilants !
Par osagay
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Publié dans : Associations, Prévention
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Vendredi 30 novembre
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Le
député UMP de l'Aube, Nicolas DHUICQ (photo), a franchi les limites du ridicule à l'Assemblée nationale mardi soir en prétendant qu'un enfant élevé sans père risquait plus qu'un
autre de tomber dans le terrorisme. A l'occasion de la discussion sur le projet de loi sur la sécurité et la lutte contre le terrorisme, le député a ainsi déclaré : "souvent, le terroriste
présente ce défaut qu'il n'a jamais rencontré l'autorité paternelle : il n'a jamais eu à se confronter avec des limites et avec un cadre parental, il n'a jamais eu la possibilité de savoir ce qui
est faisable ou non faisable, ce qui est bien ou mal". Quand on sait que le père d'Oussamma ben Laden, terroriste n°1 des années 2000, avait 22 femmes et 54 enfants, on peut sérieusement
douter du lien établi par le député entre absence de figure paternelle et terrorisme... Mais qu'importe ! Nicolas DHUICQ enchaîne en se demandant s'il n'y a pas "une certaine
contradiction, alors que vous cherchez désespérément à reposer un cadre, à rétablir un sens, une symbolique, à soutenir, dans le même temps, un projet qui va jusqu'à rayer le mot de père du code
civil (...) Vous provoquerez dans les années à venir la confusion des genres, le déni de la différence des sexes et la psychose"... rien que ça !
Ces propos ont provoqué l'indignation des députés socialistes mais également de l'Association des Famillles Homoparentales (ADFH) qui "dénonce les propos
homophobes de Nicolas DHUICQ qui oublie au passage que 2,8 millions d'enfants vivent dans une famille monoparentale (Insee 2005) et qu'il n'a jamais été démontré que ces familles soient un
terreau de développement de futurs terroristes, pas plus que les 300 000 enfants vivant dans un foyer homoparental qui, lui, bien souvent d'ailleurs, est composé de deux parents". Le
mouvement GayLib, proche de l'UMP, a lui aussi condamné ce discours et rappelé que le député "ne doit pas franchir la ligne rouge des propos homophobes". Devant le tollé, Nicolas
DHUICQ a publié un communiqué pour préciser sa pensée : "Ma réflexion n'était pas sur la question de l'homoparentalité mais sur la fonction paternelle (...) Si vous avez à terme des
jeunes auxquels on donnera encore moins la chance d'avoir des repères, automatiquement vous en aurez un certain nombre qui seront enclins à trouver une structuration dans n'importe quoi, aussi
bien un mouvement extrémiste que terroriste". La bonne nouvelle est donc que le député est capable de réflexion, la moins bonne c'est qu'une incertitude persiste : si la réflexion de l'élu
ne portait pas sur l'homoparentalité, pourquoi avoir évoqué le projet d'ouverture du mariage et de l'adoption aux couples homosexuels en plein débat sur la lutte contre le terrorisme
?
Sources : e-llico.com
Par osagay
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Publié dans : Actualité France
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Jeudi 29 novembre
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00:51
Depuis fin
2010, le dépistage rapide du VIH réalisé par des non médecins est autorisé en France. L'association AIDES en dresse un premier bilan. 12 695 tests ont été réalisés par les bénévoles de
l'association, 40% d'entre eux ont été effectués sur des homosexuels majeurs. 1,9 % des tests se sont révélés positifs ce qui est nettement plus que pour les tests pratiqués dans les centres de
dépistage anonymes et gratuits par exemple (0,3% de tests positifs). Ce chiffre peut paraître à la fois inquiétant et paradoxalement encourageant. En effet, ces tests rapides sont pratiqués au
plus près des personnes visées (bars, clubs, saunas, lieux de drague...) et touchent un public peu habitué aux dépistages classiques. 30% des personnes testées dans ce cadre ne l'avaient jamais
été auparavant. Ces résultats démontrent également que beaucoup d'homosexuels séropositifs ignorent leur séropositivité faute de dépistage. Pour AIDES, ce dispositif de dépistage rapide "doit
être élargi et pérennisé" en 2013 pour "permettre à davantage de personnes de connaître leur statut, d'améliorer leur niveau de protection et accompagner ceux qui en ont besoin vers une
prise en charge de qualité".
Sources: e-llico.com
Par osagay
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Publié dans : Associations, Prévention
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