L'agence de presse américaine Associated Press vient de recommander à ses journalistes de ne plus utiliser le terme "homophobie" dans leurs articles tout comme les termes
"transphobie" ou "islamophobie". Ces noms sont en effet jugés trop imprécis. L'agence de presse se justifie en expliquant que la phobie relève de la psychiatrie, qu'il s'agit d'un désordre mental
et que les journalistes ne sont pas en mesure de juger de la santé psychiatrique des auteurs des actes jusque là qualifiés d'homophobes. "Cela attribue une invalidité mentale à quelqu'un, un
élément dont nous ne pouvons pas avoir connaissance en tant que journalistes. Cela semble imprécis" explique Dave MINTHORN, le rédacteur en chef adjoint du petit lexique
distribué aux journalistes de l'agence. Le terme "homophobie" devrait donc être remplacé par "anti-gay" qui est, semble-t-il, plus neutre.
Le créateur du terme "homophobie", le psychologue George WEINBERG, a immédiatement réagi en défendant le mot. Pour lui, les agressions ou les
injures contre les homosexuels sont toujours basés sur la peur et le terme "englobe à la fois un état d'esprit et un ressenti".
Le studio BelAmi s'est depuis longtemps spécialisé dans les films X mettant en scène de jeunes hommes à l'allure de tendres minets. Ce cliché risque d'en
prendre un coup avec la parution de l'album Rebels. Photographiés par Joan CRISOL, les acteurs vedettes de BelAmi nous dévoilent leur côté sauvage et viril dans
une série de photos qui transpirent les hormones mâles. Vendu au prix de 49 €, l'album paru aux éditions Bruno Gmünder rassemble un total de 105 photographies en 128 pages.
Le magazine gay Têtu lance un sondage auprès de ses lecteurs pour désigner le footballeur le plus sexy de la ligue 1. Les candidats pré sélectionnés sont les
suivants :
Le 24 novembre 1997, la longue dame brune rejoignait le jardin du silence et sa froide maison de marbre au bout d'une grande allée sans arbre. Depuis les aigles
noirs ont cessé de surgir de nulle part, Marienbad s'ennuie, les paniers d'osier de la salle des ventes ne font plus que la joie des brocantes, plus personne ne chante les vieilles dames
autrichiennes qui restent seules et mélancoliques devant l'église St Etienne et s'il continue à pleuvoir sur Nantes, les roses de Göttingen ont perdu quelque chose de leur éclat d'autrefois. Nul
besoin d'une petite cantate pour célébrer l'anniversaire de ce dernier voyage qui pour nos coeurs déchirés est un dernier naufrage. Il nous reste le souvenir de cette voix à
aucune autre pareille, la chaleur de ces textes qui tels des baumes sur nos âmes fragiles viennent calmer les douleurs de nos insomnies et de notre
solitude, et cette certitude que notre plus belle histoire d'amour, c'était vous, Madame.
Comme chaque année, Movember appelle les hommes à se laisser pousser la barbe pour attirer l'attention sur la lutte contre le cancer de la prostate ou des
testicules. Cette année, deux photographes montréalais ont recruté des garçons sexy et moustachus pour illustrer cette campagne originale. Chaque modèle a accepté de faire des photos de plus en
plus sensuelles. Pour voir les plus suggestives d'entre elles sur le site movemboys.com, il faudra atteindre un certain palier de dons... A
votre bon coeur Messieurs !
Osagay a besoin de vous pour compléter son annuaire des lieux gays. Si vous souhaitez faire connaître une boîte, un bar, un lieu de drague, contactez moi en
cliquant
Merci de bien indiquer dans vos messages, le nom de l'établissement, son adresse, son activité (bar, sauna, boîte...) et éventuellement l'adresse de son site
internet.
L'agence de presse américaine Associated Press vient de recommander à ses journalistes de ne plus utiliser le terme "homophobie" dans leurs articles tout comme les termes
"transphobie" ou "islamophobie". Ces noms sont en effet jugés trop imprécis. L'agence de presse se justifie en expliquant que la phobie relève de la psychiatrie, qu'il s'agit d'un désordre mental
et que les journalistes ne sont pas en mesure de juger de la santé psychiatrique des auteurs des actes jusque là qualifiés d'homophobes. "Cela attribue une invalidité mentale à quelqu'un, un
élément dont nous ne pouvons pas avoir connaissance en tant que journalistes. Cela semble imprécis" explique Dave MINTHORN, le rédacteur en chef adjoint du petit lexique
distribué aux journalistes de l'agence. Le terme "homophobie" devrait donc être remplacé par "anti-gay" qui est, semble-t-il, plus neutre.
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