Ridicule ! C'est l'adjectif qui vient spontanément à l'esprit devant les déclarations de Natalia PARIS (photo) qui a tenté lors d'une séance d'autographes de mettre en garde les mères colombiennes contre les effets du poulet élévé aux hormones. Selon la bimbo, manger la viande de ces volailles rendrait les petits garçons homosexuels et ferait atteindre la puberté aux petites filles dès l'âge de 7 ans !  Le président de la fédération nationale des éleveurs de volailles a aussitôt réagi en qualifiant ces propos de "conneries". Il en profite également pour préciser que l'injection d'hormones dans les poulets est une "légende urbaine".   On ne sait pas encore quel genre d'études Natalia PARIS a bien pu mener sur le sujet ni quel genre de viande elle a bien pu consommer pour proférer de telles mises en garde...

Sources : 360.ch

Selon un étude danoise, l'espérance de vie des hommes homosexuels vivant en couple serait supérieure à celle des célibataires et des hétérosexuels. Le Danemark  est le premier pays à avoir légalisé le mariage gay en 1989. Selon l'étude publiée dans The International Journal of Epidemiology, le taux de mortalité des hommes homosexuels a considérablement  diminué après 1996 grâce notamment aux nouveaux traitements contre le SIDA. A l'inverse, la mortalité des hommes hétérosexuels ne cesse d'augmenter depuis cette même date. L'étude met ainsi en évidence le lien entre vie conjugale et longévité. Il apparaît notamment que les hommes en couple mais ne vivant pas avec leur conjoint ont une espérance de vie plus courte que celle des hommes partageant leur vie de manière stable avec un conjoint. 

Sources : huffingtonpost.fr

Le Centre sur les recherches familiales de l'Université de Cambridge vient de réaliser une étude sur les familles homoparentales. Basée sur les témoignages des enfants, de leurs parents et de l'entourage de ces familles, l'enquête avait pour but de déterminer si l'adoption par des couples homosexuels était plus ou moins traumatisante pour les enfants qu'une adoption par des couples hétérosexuels. Le bilan est sans appel : les enfants adoptés par les couples homosexuels vont bien ! Non seulement les enfants de familles homoparentales n'ont pas de problèmes particuliers par rapport à ceux adoptés par des familles hétérosexuelles mais l'enquête conclut qu'il y a "bien plus de similarités que de différences parmi ces familles". L'investissement des pères gays auprès de leurs enfants semble même plus important que celui des pères hétérosexuels. Il a été, en outre, constaté que la vie sociale des enfants adoptés par des homosexuels est particulièrement riche. La principale différence réside dans le rapport des couples à l'adoption : pour les couples hétérosexuels il s'agit souvent d'une solution de repli lorsque toutes les autres possibilités ont échoué alors que pour les couples homosexuels (en particulier les couples d'hommes), l'adoption est le moyen le plus évident d'avoir des enfants. Le Royaume-Uni autorise l'adoption par les couples homosexuels depuis 2005 et c'est sur un échantillon de 130 familles que cette étude a été réalisée. 

Sources : melty.fr